Martine Atlan, Hu Wei, Kantemir Balogo er Mia Hansen Love, voici les nouveaux talents accompagnés par Arte Cinema © DRIf Love should die, de Mia Hansen-Løve
Caspian Films (Royaume-Uni), Les Films Pelléas (France), Mer Film (Norvège), Our Films (Italie), MUBI
En Angleterre, à la veille de la Révolution française, une jeune femme pauvre et solitaire fait son chemin à travers les idéaux des Lumières.
Mia Hansen-Løve portera à l’écran les douze dernières années de la vie de Mary Wollstonecraft, écrivaine et philosophe anglaise visionnaire dont le parcours et les idées résonnent de manière étonnante avec notre temps. Il s’agit de la sixième collaboration entre la réalisatrice, Les Films Pelléas et ARTE France Cinéma.
Tournage au Royaume-Uni, en France, Scandinavie et au Portugal en 2025.
Butterfly Jam, de Kantemir Balagov
Co-scénariste : Marina Stepnova
Why Not Productions (France)
Pour son troisième long-métrage après les remarqués Tesnota, une vie à l’étroit et Une grande fille, le réalisateur russe en exil veut raconter la relation difficile entre Pyteh, un jeune de 15 ans, et son père, au sein de la communauté Lagarde (russe du Caucase) de Newark aux États-Unis. Tiraillé entre son admiration pour son père et ses récentes désillusions, Pyteh se retrouve confronté à une violence qui va le contraindre à grandir plus vite qu’il ne le souhaite.
Tournage en France et à Newark (États-Unis) à partir de mi-septembre 2024.
49 Jours, de Hu Wei (Premier film)
Les Films du Worso (France)
Un couple chinois divorcé depuis dix ans se retrouve à Paris pour organiser les funérailles de leur fils unique. Dans ce pays qui leur est totalement étranger, ils sont contraints de vivre à nouveau sous le même toit. En essayant de trouver les raisons qui ont mené à la mort de leur fils, ils sont confrontés à ce qu’ils ont toujours essayé de fuir : leur passé.
Le titre 49 Jours fait référence à la période de deuil des rites funéraires chinois. Il symbolise les sept cycles de sept jours. 49 jours après le décès, le défunt peut renaître sous une nouvelle forme.
Après le succès critique de ses films, en particulier de son court-métrage La lampe au beurre de Yak (nommé aux Oscar en 2015) puis de Ce qui nous éloigne avec Isabelle Huppert en 2016 présenté à la Mostra de Venise, le passage au long-métrage de cet artiste plasticien est particulièrement attendu.
Tournage au premier trimestre 2025 à Paris et dans la région Grand Est.
La Gradiva, de Marine Atlan (Premier film)
Co-scénariste : Anne Brouillet
Les Films du Poisson (France), Bibi Films (Italie)
Avec Antonia Buresi
Un petit groupe de lycéens français part en voyage scolaire à Pompéi pour découvrir ses ruines et ses corps pétrifiés par le Vésuve en 79 de notre ère. C’est dans cette ville fantôme que le vertige les saisit brutalement. L’un après l’autre, James, Toni, Suzanne et leur professeure de latin Mme. Mercier se laissent submerger par le désir, la colère et le désespoir jusqu’à s’y abandonner complètement et tout perdre.
Tournage au printemps 2025 à Naples, Torre Del Greco et Pompéi.
