L’accord prend le relais de celui initialement conclu en 2010 puis renouvelé en 2018. Il inscrit dans le long terme la reconnaissance des droits des autrices et auteurs représentés par la Scam, et leur garantit une juste rémunération pour l’exposition de leurs œuvres sur YouTube.
La Scam représente désormais plus d’un millier d’auteurs et d’autrices dans des thématiques diverses, telles que le lifestyle, la culture, les sciences, ou encore le sport, à travers des reportages, interviews, tutoriels… pour lesquels YouTube est aujourd’hui devenu le vecteur principal de diffusion.
Justine Ryst, directrice générale YouTube France : « Ce nouvel accord avec la Scam illustre notre ancrage, depuis de nombreuses années désormais, dans l’écosystème audiovisuel français, avec une ambition commune : accompagner les auteurs dans la gestion de leurs œuvres, participer à la création de valeur et promouvoir les créations originales françaises dans le monde entier ». Hervé Rony, directeur général de la Scam : « Je me réjouis que la Scam et YouTube aient pu trouver un nouvel accord pour la gestion des droits des vidéastes. Ceci démontre tout à la fois la volonté d’un acteur majeur du net d’assurer le respect des droits d’auteur et le dynamisme du répertoire de la Scam, en particulier celui des « influenceurs » et des « vulgarisateurs » du net qui apportent un regard nouveau sur le réel ».
À propos de YouTube :
Lancé en mai 2005, YouTube permet à des milliards de personnes de découvrir, regarder et partager des vidéos originales. YouTube offre un espace où les internautes peuvent discuter, s’informer et inspirer d’autres vidéastes à travers le monde et où les créateurs de contenus et les annonceurs de toutes tailles peuvent être diffusés. YouTube est une filiale de Google.
À propos de la Scam :
La Scam rassemble 49 000 auteurs et autrices qui explorent toutes les formes du genre documentaire : audiovisuel, radio, littérature, journalisme, traduction, photographie, dessin, écritures et formes émergentes. Elle les représente auprès des pouvoirs publics, des diffuseurs, des distributeurs, des plateformes (vidéo, podcast), des producteurs et des éditeurs. Elle négocie en leur nom, collecte et répartit leurs droits d’auteur (plus de 112 millions d’euros en 2020). Elle défend leurs intérêts en menant une action culturelle pour la promotion de leurs œuvres. Elle organise des rencontres professionnelles, propose des bourses d’écriture et des prix et assure le financement de manifestations et organismes dédiés.