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Du Nagra 4S au Cantar avec Lucien Balibar

Lucien Balibar, chef opérateur cinéma son émérite, nous donne sa vision sur l’évolution des enregistreurs du Nagra au Cantar en passant par le DAT.
À gauche : Lucien Balibar photographié ici en 2004 sur le tournage « Les Dalton » avec Stéphane Vizet, le Zaxcom Deva II en sacoche. À droite : Période de transition en 2004 pour Lucien Balibar sur « Les Chevaliers du ciel » de Gérard Pirès : la sacoche du Cantar trône sur la roulante qu’elle s’apprête à remplacer ! © DR

 

« Le son direct analogique offrait une ergonomie de travail quasi parfaite avec le Nagra 4S, une machine fiable, portable et compacte, au son irréprochable. Le numérique, soi-disant supérieur, mettra presque dix ans à retrouver une cohérence similaire. Au départ, arrivent les enregistreurs DAT qui n’apportent rien de qualitatif car leurs préamplis sont inférieurs, et ils sont trop fragiles pour les conditions du tournage…

« J’ai débuté en numérique avec le Nagra D, une machine de studio que j’ai supporté sur un seul film en fantasmant sur ses quatre pistes parce que je voulais capturer en direct les acoustiques des décors dans lesquels …

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