De gauche à droite : Georges Marque-Bouaret, délégué général du FIGRA ; Solène Chalvon-Fiorit reçoit le Grand Prix des œuvres de plus de quarante minutes pour son film « Afghanes » ; Le nombreux public a la possibilité de questionner les réalisateurs après la projection. © Charles Couvelard
Dès la création de l’événement, Georges Marque-Bouaret avait souhaité donner la parole à ceux qui réalisent sur le terrain les documentaires d’investigation. À la différence du Festival international de programmes audiovisuels documentaires de Biarritz par exemple, le FIGRA ne dispose pas d’un marché. « Notre objectif est avant tout de mettre en lumière le travail des auteurs. Pour cette édition encore, plus de 90 % des réalisateurs qui avaient un film sélectionné ont fait le déplacement pour présenter leur œuvre au public au cours des projections », explique avec entrain le délégué général du FIGRA.
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