Le mélangeur Dyvi a l’avantage d’être basé sur une architecture informatique du type GPU qui lui permet d’être modulaire pour ajouter de la puissance graphique suivant ses besoins. Les visiteurs passant sur le stand pouvaient d’ailleurs bénéficier de longues démos individualisées afin de se rendre compte des dernières fonctionnalités créatives de cet outil haut de gamme de plus en plus utilisé sur les plateaux TV français.
Une des dernières émissions en date à avoir fait l’acquisition d’un Dyvi est l’émission de CanalPlus « Clique Dimanche » sur Clique TV qui l’utilise depuis l’automne pour ses directs au maximum de ses possibilités créatives, un peu à la manière d’un After Effects du live.
Dans un registre plus productif, c’est la chaîne Equidia qui utilise également le Dyvi pour réaliser ses 12 heures de directs par jour liés aux retransmissions de courses hippiques.
« Depuis que le produit est commercialisé, la communauté d’utilisateurs grossit chaque année. Nous avons formé rien qu’en France plus de 60 truquistes et réalisateurs au sein de notre showroom dédié », souligne Christophe Defontaines.
En outre, hormis sa flexibilité matérielle, le Dyvi évolue aussi régulièrement en termes de fonctionnalités nouvelles, avec récemment les fonctions macro-conditionnelles qui offrent de lancer des effets conditionnés à un moment clé d’une émission. Bien pratique, lorsque la mécanique scénaristique d’une émission, comme pour un jeu, est parfaitement codifiée.
Extrait de notre compte-rendu du SATIS 2018 paru pour la première fois dans Mediakwest #30, p.47/69. Abonnez-vous à Mediakwest (5 numéros/an + 1 Hors-Série « Guide du tournage ») pour accéder, dès leur sortie, à nos articles dans leur intégralité.