« Nous transformons la technologie en expériences narratives et poétiques », explique Emilie Tappolet.
Initialement diplômée d’un Master de Design Media, la jeune femme a fondé apelab avec le souhait d’abolir les frontières entre les mondes physiques et virtuels. Elle portait en elle le projet Land 52 depuis près de huit ans mais, à son grand regret, la technologie n’était pas suffisamment stable avant l’arrivée des tablettes !
Avant de se lancer dans la production de Land 52, apelab a déjà produit des histoires interactives pour des expositions et des évènements, notamment pour la maison de la Suisse à l’occasion des Jeux Olympiques 2012, pour le MUDAC (Musée de design et d’arts appliqués contemporains) de Lausanne.
Aux côtés d’Emilie Tappolet, l’illustrateur Sylvain Joly apporte un style graphique dépouillé dont le parti pris est facilement identifiable; passionné de cinéma, de jeu mais aussi de technologies, il a beaucoup réfléchi aux nouvelles formes de narration et de relations entre les avatars et les joueurs.
…Pour apelab, un projet de réalité augmentée doit répondre à 3 caractéristiques :
– Il doit s’appuyer sur Scénario bâtit autour d’un univers solidement construit ;
– L’histoire doit impliquer l’utilisateur avec une interactivité qui sera différente de celle d’un jeu;
– Un lien intuitif avec l’utilisateur doit être créé, l’interface doit être simple et accessible pour tous les publics
Suite à l’aboutissement de ses précédents projets et devant l’adhésion du public, apelab a choisi de se lancer aujourd’hui dans une expérience de réalité augmentée dont l’univers s’adresse aux consommateurs d’entertainment équipés de tablettes.
« Nous essayons d’utiliser les nouvelles technologies pour raconter des histoires de façon différente. Nous avons construit un récit spatial et non linéaire, donc d’un point de vue narratif, ce n’est pas exactement un scénario.
Nous-nous sommes appuyés sur des logiciels qui existent mais nous avons développé nos propres applications », précise Emilie Tappolet.
Land 52, qui fera l’objet d’une distribution commerciale concrétise une expérience de narration tout à fait novatrice : l’espace est en interaction avec l’orientation de l’IPAD et selon la façon dont on incline la tablette on peut voir la scène, le sol ou le ciel, on peut découvrir la scène à droite ou à gauche; l’image et le son sont spatialisés et les informations sont délivrées en interaction avec l’accéléromètre et le gyroscope intégrés dans l’Ipad.
« On ne pense plus en terme de plan mais en terme d’espace, On fait des storyboards sur 360°. On est parti sur le principe d’une dizaine de scènes par épisode, ce qui en temps de développement nécessite un mois. »
Si l’histoire propose une boucle dont la durée est inférieure à 5 minutes, pour ne pas saturer l’utilisateur, l’univers propose beaucoup d’embranchement, ce qui permet au final de répéter l’expérience en se confrontant à chaque fois à des situations différentes. « Il y a même des variations narratives en fonction des heures de la journée et plusieurs fins sont possibles, l’épisode suivant intègrera ces variantes de sorte que le début du deuxième jeu sera différent selon la façon dont on aura terminé le premier jeu. », précise Emilie Tappolet.
A terme Land 52 fonctionnera sur tous types d’écrans avec du responsive design. Land 52 sera commercialisé sur Apple et Apstore auto distribution
Studio Suisse dont l’activité repose sur le design de jeu, la narration interactive et l’expérience utilisateur, apelab cherche à créer des passerelles entre la technologie et le scénario en favorisant les aventures immersives.
« Nous transformons la technologie en expériences narratives et poétiques », explique Emilie Tappolet.
Initialement diplômée d’un Master de Design Media, la jeune femme a fondé apelab avec le souhait d’abolir les frontières entre les mondes physiques et virtuels. Elle portait en elle le projet Land 52 depuis près de huit ans mais, à son grand regret, la technologie n’était pas suffisamment stable avant l’arrivée des tablettes.
Avant de se lancer dans la production de Land 52, apelab a déjà produit des histoires interactives pour des expositions et des évènements, notamment pour la maison de la Suisse à l’occasion des Jeux Olympiques 2012, pour le MUDAC (Musée de design et d’arts appliqués contemporains) de Lausanne.
Aux côtés d’Emilie Tappolet, l’illustrateur Sylvain Joly apporte un style graphique dépouillé dont le parti pris est facilement identifiable. Passionné de cinéma, de jeu mais aussi de technologies, il a beaucoup réfléchi aux nouvelles formes de narration et de relations entre les avatars et les joueurs.
…Pour apelab, un projet de réalité augmentée doit répondre à 3 caractéristiques :
– Il doit s’appuyer sur Scénario bâtit autour d’un univers solidement construit ;
– L’histoire doit impliquer l’utilisateur avec une interactivité qui sera différente de celle d’un jeu;
– Un lien intuitif avec l’utilisateur doit être créé, l’interface doit être simple et accessible pour tous les publics
Suite à l’aboutissement de ses précédents projets et devant l’adhésion du public, apelab a choisi de se lancer aujourd’hui dans une expérience de réalité augmentée dont l’univers s’adresse aux consommateurs d’entertainment équipés de tablettes.
« Nous essayons d’utiliser les nouvelles technologies pour raconter des histoires de façon différente. Nous avons construit un récit spatial et non linéaire, donc d’un point de vue narratif, ce n’est pas exactement un scénario.
Nous-nous sommes appuyés sur des logiciels qui existent mais nous avons développé nos propres applications », précise Emilie Tappolet.
Land 52, qui fera l’objet d’une distribution commerciale concrétise une expérience de narration tout à fait novatrice : l’espace est en interaction avec l’orientation de l’IPAD et selon la façon dont on incline la tablette on peut voir la scène, le sol ou le ciel, on peut découvrir la scène à droite ou à gauche; l’image et le son sont spatialisés et les informations sont délivrées en interaction avec l’accéléromètre et le gyroscope intégrés dans l’Ipad.
« On ne pense plus en terme de plan mais en terme d’espace, On fait des storyboards sur 360°. On est parti sur le principe d’une dizaine de scènes par épisode, ce qui en temps de développement nécessite un mois. »
Si l’histoire propose une boucle dont la durée est inférieure à 5 minutes, pour ne pas saturer l’utilisateur, l’univers propose beaucoup d’embranchement, ce qui permet au final de répéter l’expérience en se confrontant à chaque fois à des situations différentes. « Il y a même des variations narratives en fonction des heures de la journée et plusieurs fins sont possibles, l’épisode suivant intègrera ces variantes de sorte que le début du deuxième jeu sera différent selon la façon dont on aura terminé le premier jeu. », précise Emilie Tappolet.
A terme Land 52 fonctionnera sur tous types d’écrans avec du responsive design. Land 52 sera commercialisé sur Apple et Apstore auto distribution
apelab prévoit la sortie de la bande annonce de Land 52 dans l’App Store très bientôt, avec un premier épisode qui sera livré dans l’année.
apelab prévoit la sortie de la bande annonce de Land 52 dans l’App Store très bientôt, avec un premier épisode qui sera livré dans l’année.
