MagicHour équipe la Cinémathèque de Toulouse en Lasergraphics

MagicHour, dont la vocation est de proposer au marché français et international des outils haut de gamme pour les univers IT de la production et post-production télévision, cinéma et pub, a réalisé l’intégration, le paramétrage et la fourniture d’un Scan Station Personal de Lasergraphics à la Cinémathèque de Toulouse.
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« L’acquisition d’une Scan Station Personal de Lasergraphics est le coup d’envoi de la politique de numérisation qui sera prochainement mise en place au sein de la Cinémathèque de Toulouse. » Arianna Turci, conservatrice de la Cinémathèque de Toulouse s’est tournée vers Magic Hour pour identifier l’investissement idéal face aux besoins de numérisation de la cinémathèque de la Ville Rose.

« L’investissement est modéré et performant, » précise-t-elle. La première mission de ce Scan Station Personal de Lasergraphics permettra de gérer une urgence de conservation et de sauvegarde d’un ensemble de longs métrages 35 mm « très abimés par  le temps ou affichant un réel syndrome du vinaigre ». Ils seront conservés à la fois sur support LTO et sur l’espace de stockage centralisé de la Cinémathèque. « Nous étions dotés d’un télécinéma SD acquis il y a sept ans mais qui ne correspondait plus à la demande des institutions avec lesquelles nous travaillons. »

La Cinémathèque doit faire face à une demande croissante en termes de documents HD et anticipe déjà une potentielle demande 4K. Ce nouvel équipement permet ainsi de scanner en HD et 2K en temps réel pour répondre aux demandes extérieures émanant de chaînes de télévision, archives, sociétés de production etc.

Côté architecture, la Scan Station Personal de Lasergraphics est attachée à un PC d’une capacité de 8 To, lui-même attaché à un NAS de 80 To, point d’échange et de stockage des fichiers numérisés de la Cinémathèque. Une station Avid Media Composer assure le montage et l’édition des éléments numérisés. Propulsés sur un réseau 10 Gbits, les fichiers disponibles sur le NAS sont naturellement ouverts au travail collaboratif, qu’il s’agisse d’accéder directement aux DCP pour la cabine de projection ou aux archives composées majoritairement de sauvegardes de copies 35 mm ou 16 mm (films d’exploitation, films institutionnels et familiaux à vocation historique).


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