« Le crédit d’impôt, outre le crédit d’impôt international, c’est bien sûr le crédit d’impôt domestique qui a été amélioré dans des conditions telles que nous avons vu un certain nombre de tournage français rester sur le territoire français parce qu’il ne devenait plus du tout intéressant d’aller tourner notamment en Belgique ou au Luxembourg. Le film Vidocq, l’empereur de Paris est certainement un très bon exemple puisque la société Mandarin Production, à plusieurs reprises, a communiqué sur le fait qu’ils avaient choisi de tourner en France, en région Ile-de-France en recréant un backlot avec Paris, les tanneries, le canal… C’est un décor qui est très spectaculaire. Nous voyons que ce besoin de backlot existe. Nous avons un déficit en France. Par exemple les studios de Seine-Saint-Denis n’ont pas de backlot. Aujourd’hui, le studio de Martigues serait en situation d’offrir un backlot et c’est probablement dans cette synergie-là que les studios de la Victorine se sont rapprochés des studios de Martigues pour offrir une offre plus large à la fois de plateaux et de backlot ».
Valérie Lépine Karnik évoque en fin d’interview l’idée de développer ces offres de studios à un niveau européen en se rapprochant des studios de Malte par exemple.
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Pour approfondir le sujet, vous pouvez consulter notre article paru hier : Le point sur les retombées du crédit d’impôt international avec Film France (WebTV Valérie Lépine Karnik-I)